Des mots pour dire...!

Droit de réponse

 

La justice a tranché et M. Sinda a été condamné à me verser 2000 euros . voici la décision de justiceD--cision-10092012.pdf

 

Il a fait appel malgré les conseils de son avocat qui l'avait déja auparavant dissuadé d'attaquer en justice pour le motif du plagiat. Car aucun avocat ne pouvait évidemment le suivre sur cette voie. Il a donc porté plainte pour injures. Celui qui mettait la notification "à suivre" sur son blog, en se moquant de moi, ne souhaite plus le faire. Il a par le biais de son avocat, souhaité que cette condamnation reste secrete.  

 

A suivre....

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DROIT DE REPONSE

 

 

Le délire d’un mégalomane doublé d’un mythomane : Mr SINDA Thierry

 

Monsieur Thierry Sinda m’accuse de plagiat dans une note publiée sur internet, et dans un courrier qu’il a adressé au directeur de ma thèse, le professeur Papa Samba Diop, et à tous les membres de mon jury de thèse, les professeurs Priska Degras, Beïda Chikhi et Daniel Delas. Et la rage de Monsieur Thierry Sinda est telle qu’il s’est aussi permis d’accuser tous ces enseignants de complicité dans ce qui à ces yeux est un forfait qu’il est prêt à porter devant les tribunaux.

Sans vouloir faire rire les lecteurs du présent texte, voici ce que j’aurais plagié de la thèse de Monsieur Sinda soutenue en 2000 : l’expression de « mythe sabéen ». M. Sinda aurait donc inventé cette expression, et le premier, M. Sinda aurait aussi découvert et développé le mythe de la « Reine de Saba ».

De qui M. Sinda se moque t-il lorsqu’il a à la fois la naïveté et l’outrecuidance d’affirmer de telles âneries ?

M. SINDA, si vous cherchez ainsi à faire parler de vous par les universitaires, sachez que vous vous y prenez mal, très mal : vous n’obtiendrez pas de cette façon un poste. Vos candidatures spontanées dans plusieurs universités françaises sont desservies par la réputation que vous avez désormais d’être un mégalomane doublé d’un mythomane.

Un mégalomane parce que vous vous pensez que tout le monde a lu votre thèse pour s’en inspirer. Une thèse que personnellement je ne connais, que je n’ai pas envie de connaître, car si elle était aussi extraordinaire que vous le laissez entendre, elle aurait été publiée et aurait figuré dans les bibliographies des thésards.

Cessez donc de vous prendre pour ce que vous n’êtes pas : un grand penseur. Les grands penseurs sont cités de tout le monde. Vous, vous ne serez cité de personne, car personne ne vous connait comme porteur d’idées extraordinaires.  Ce que vous faites est facile : vous êtes chez vous, vous ouvrez votre ordinateur, vous accédez à votre site internet, et vous vous mettez à baver sur le monde auquel vous avez rêvé d’accéder, mais qui n’a pas voulu de vous : le monde universitaire.

Si vous voulez intégrer cet univers, où d’après ce que j’en ai vu de mes maîtres, l’on travaille beaucoup et en toute discrétion, je pense, malheureusement pour vous, que vous venez, par cette fallacieuse affaire de plagiat que vous avez porté sur la place publique, de vous tirer une balle dans le pied. Les universitaires n’aiment pas les personnages de votre acabit : des irresponsables abusant des moyens modernes de communication. Les universitaires n’aiment pas les intellos-vampire qui, pour exister, se nourrissent du sang des gens honnêtes.

Vous avez attenté à mon honneur et foulé aux pieds mon sens de l’honnêteté intellectuelle, je peux donc en retour vous traiter de ce que vous êtes : un être sans envergure, et qui ne mériterez jamais l’amitié ou l’estime des professeurs que vous avez eu le front de mettre en cause dans votre pitoyable article diffamatoire.

Sachez pour finir que si vous portez cette affaire devant les tribunaux, vous aurez d’abord à prouvez que je vous ai plagié, et vous perdrez. D’autres part, vous aurez à convaincre de la complicité de plagiat pour les quatre professeurs, et vous serez humilié.

J’ai en général beaucoup de respect pour mes aînés, mais c’est vous qui par l’énormité de votre hargne m’avez fait sortir de mes gonds pour m’adresser à vous comme à un vulgaire mythomane.

Dieu fasse, esprit maléfique, que nos chemins ne se croisent plus jamais !!!

 

Prisca MAMENGUI-MOUITY épouse OTOUMA.

 

NB: Ce mardi 10 avril 2012 à 13h nous avons eu une première confrontation avec M. Sinda dans le bureau du professeur Papa Samba Diop à l’université Paris-Est Créteil,  ce dernier s’est présenté sans sa thèse alors qu’il était prévenu.

Pour ma défense, j’ai démontré premièrement que l’expression « mythe sabéen » est largement antérieure à la thèse de M. Sinda. Deuxièmement, l’orientation ou la définition donnée par le plaignant n’est plus une originalité littéraire en 2000, date de sa soutenance, en me servant des ouvrages que je cite dans ma thèse et qui sont antérieurs à 2000. Troisièmement, ce mythe ne constitue qu’une mention marginale dans mon travail car l’expression est citée 3 fois (p.128, 129 et 130) dans une thèse de 343 pages. Quatrièmement, je m’interroge sur la pertinence du propos de M. Sinda quant à son accusation.

A la fin de la séance, M. Sinda s’est proposé de faire des recherches pour vérifier la véracité de mon propos. Rendez-vous bien compte que cet homme m’accuse publiquement sans avoir, dans un premier temps lu ma thèse, et dans un deuxième temps, préparé des arguments. Alors, pourquoi un tel acharnement sur un jeune chercheur avant la confrontation de nos travaux? 

 

        la décision de justice:  D--cision-10092012.pdf



11/04/2012
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